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Réunion Du Bureau Exécutif
Sam 6 Oct - 22:30 par ATIA
دعوة لجميع المنخرطين بالاتحاد التونسي للمهندسين الفلاحيين
يوم السّبت 20 أكتوبر 2012 هو تاريخ انعقاد الجلسة العامّة الخارقة
للعادة ابتداء من السّاعة العاشرة صباحا بالمعهد الوطنيّ للعلوم الفلاحيّة بتونس
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يوم السّبت 20 أكتوبر 2012 هو تاريخ انعقاد الجلسة العامّة الخارقة
للعادة ابتداء من السّاعة العاشرة صباحا بالمعهد الوطنيّ للعلوم الفلاحيّة بتونس
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AGRI’INNOVA CHALLENGE
Mar 24 Juil - 22:57 par ATIA
Dans le cadre des ses activités, le bureau régional de Nabeul organise un challenge: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Ce Challenge, consiste à apporter une aide aux porteurs d’idées dans le domaine agronomique afin de préparer les plans d’affaires relatifs à leurs projets.
Au cours de l’AGRI’INNOVA CHALLENGE plusieurs …
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Ce Challenge, consiste à apporter une aide aux porteurs d’idées dans le domaine agronomique afin de préparer les plans d’affaires relatifs à leurs projets.
Au cours de l’AGRI’INNOVA CHALLENGE plusieurs …
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Convention UTIA - TUNISIANA
Mar 10 Juil - 8:54 par Aouadi
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Suite à la signature d'une nouvelle convention avec l'Association «Union Tunisienne des Ingénieurs Agronomes », Tunisiana offre à ses adhérents les avantages suivants:
Gratuités suite acquisition/migration d'une ligne BC ou Business Classic+ :
* La souscription gratuite à « l'option Network » donnant droit à 100 Heures d'appels et …
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Suite à la signature d'une nouvelle convention avec l'Association «Union Tunisienne des Ingénieurs Agronomes », Tunisiana offre à ses adhérents les avantages suivants:
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* La souscription gratuite à « l'option Network » donnant droit à 100 Heures d'appels et …
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Statut de l'ingénieur agronome
Dim 20 Mai - 22:31 par agronome-fier
Dans ce sujet vous pouvez laisser vos commentaires et vos recommandations pour la commission qui traite actuellement le sujet du statut de l'ingénieur agronome au sein de l'UTIA
Commentaires: 3
Le virus SCHMALLENBERG progresse dans les élevages
Page 1 sur 1
Le virus SCHMALLENBERG progresse dans les élevages
Dans le cadre d’investigations relatives à des diarrhées fébriles chez des ruminants, le laboratoire de référence allemand (FLI) a identifié en novembre 2011 un nouvel orthobunyavirus, nommé Schmallenberg virus (SBV).
L’agent responsable : un virus à transmission vectorielle
C’est un virus qui affecte les ruminants, de la famille Bunyavirus (genre Orthobunyavirus), voisin du virus d’Akabane ou virus Aino... Ces virus sont habituellement exotiques (fréquent en Afrique, Asie et Australie), ils touchent de nombreuses espèces d’animaux dont les ruminants. Ils sont transmis par des vecteurs (culicoïdes, moustiques …).
Ces virus induisent une infection chez les animaux et ne sont a priori pas considérés comme zoonotiques c’est à dire qu’ils ne sont pas pathogènes pour l’homme.
Ces virus sont sensibles aux désinfectants classiques (hypochlorite de sodium 1%, éthanol à 70% et formaldéhyde…), ils sont aussi sensibles à la chaleur (50-60°c pendant au moins 30 min).
Les signes cliniques de suspicion
Les signes cliniques majeurs et déclencheurs d’une suspicion sont des naissances de nouveaux nés malformés (malformation touchant le squelette et le système nerveux), des avortements et des mortinatalités.
Chez les adultes, les symptômes seraient plutôt bénins voire inapparents (hyperthermie, diarrhées, baisse de la production laitière).
Situation épidémiologique en Europe (au 12/02/2012)
L’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique et la Grande Bretagne ont signalé la présence de ce virus Schmallenberg sur leur territoire.
Date Total foyers Ovins Bovins Caprins
Allemagne 434 402 19 13
Pays-Bas 98 89 5 4
Belgique 103 95 1 7
Royaume Uni 29 28 0 1
France 94 93 1 0
Soit pour l’ensemble de l’Europe, 758 élevages concernés, dont 707 ovins (93,0%), 26 caprins (3,5%) et 25 bovins (3,5%)
Au 12 février 2012, 94 élevages sont confirmés en France
*il s’agit de 93 élevages OVINS (naissance de nouveaux-nés malformés, avortements, mortinatalités résultant de l’infection des mères) et d'un élevage caprin
*situés essentiellement dans le nord de la France (départements de l’Aisne, du Calvados, de l’Oise, de la Moselle, de la Meurthe-et-Moselle, de la Meuse, de la Somme, de la Haute-Marne, du Pas-de-Calais et de la Seine-Maritime).
La transmission (vectorielle par le biais de culicoïdes, moustiques …) entre animaux est jugée faible en cette période hivernale. Les cas observés aujourd’hui résulteraient a priori d’une infection antérieure des mères pendant la gestation.
La situation épidémiologique étant certainement amenée à changer tous les jours, au fur et à mesure de la survenue des périodes de mise bas dans les élevages, ceux qui souhaiteraient connaître l’évolution de cette situation jour par jour peuvent consulter le site de la plate forme d’épidémiosurveillance. Cliquez ici.
Les mesures prises en France
Une surveillance a été mise en place par la Direction générale de l'alimentation (DGAL) début janvier 2012; ses modalités ont été définies sur proposition de la Plateforme de surveillance épidémiologique en santé animale. Il s'agit d'une surveillance clinique des malformations chez les ruminants visant à déceler la circulation du virus Schmallenberg sur le territoire métropolitain (note de service DGAL/SDSPA/N2012-8007 du 4 janvier 2012), avec une surveillance renforcée dans les zones les plus à risque d'introduction du virus, à savoir les régions frontalières avec la Belgique et l'Allemagne.
L'ANSES avait par ailleurs été saisie par la Direction générale de l'alimentation pour évaluer les risques de diffusion sur le territoire français.
La Dgal a aussi demandé au RFSA (Réseau Français de la Santé animale), après la confirmation des premiers cas français, de définir, de prioriser et de coordonner les besoins et les moyens de recherche sur cette maladie.
L’Institut de l’Elevage participe à ce réseau et donc à la définition de ce programme de recherche au côté de l’ANSES, des services du ministère de l’agriculture, des représentants de la recherche pharmaceutique industrielle, de la recherche publique, de la formation en santé animale, de GDS France, de Race de France, des représentants des vétérinaires, des laboratoires vétérinaires etc.
Les axes de recherche prioritaires identifiés sont non seulement la mise au point d’un outil de diagnostique sérologique et d’un vaccin mais aussi une meilleure description de la situation épidémiologique des troupeaux atteints. Cette description nous permettra d’évaluer l’impact de cette maladie dans les troupeaux .
Quid de la réglementation ?
Cette affection n’est actuellement visée par aucune réglementation communautaire ou internationale, toutefois compte tenu de son caractère émergent, les pays touchés ont pris l’initiative d’en informer la Commission Européenne et l’OIE.
Aucune restriction particulière n’est mise en œuvre dans les élevages et aucune mesure spécifique n’est appliquée aux produits. Néanmoins, la DGAl rappelle que la réglementation sanitaire interdit le mouvement des animaux malades et la consommation de leurs produits.
hechlef
Messages: 4
Date d'inscription: 22/02/2012
L’agent responsable : un virus à transmission vectorielle
C’est un virus qui affecte les ruminants, de la famille Bunyavirus (genre Orthobunyavirus), voisin du virus d’Akabane ou virus Aino... Ces virus sont habituellement exotiques (fréquent en Afrique, Asie et Australie), ils touchent de nombreuses espèces d’animaux dont les ruminants. Ils sont transmis par des vecteurs (culicoïdes, moustiques …).
Ces virus induisent une infection chez les animaux et ne sont a priori pas considérés comme zoonotiques c’est à dire qu’ils ne sont pas pathogènes pour l’homme.
Ces virus sont sensibles aux désinfectants classiques (hypochlorite de sodium 1%, éthanol à 70% et formaldéhyde…), ils sont aussi sensibles à la chaleur (50-60°c pendant au moins 30 min).
Les signes cliniques de suspicion
Les signes cliniques majeurs et déclencheurs d’une suspicion sont des naissances de nouveaux nés malformés (malformation touchant le squelette et le système nerveux), des avortements et des mortinatalités.
Chez les adultes, les symptômes seraient plutôt bénins voire inapparents (hyperthermie, diarrhées, baisse de la production laitière).
Situation épidémiologique en Europe (au 12/02/2012)
L’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique et la Grande Bretagne ont signalé la présence de ce virus Schmallenberg sur leur territoire.
Date Total foyers Ovins Bovins Caprins
Allemagne 434 402 19 13
Pays-Bas 98 89 5 4
Belgique 103 95 1 7
Royaume Uni 29 28 0 1
France 94 93 1 0
Soit pour l’ensemble de l’Europe, 758 élevages concernés, dont 707 ovins (93,0%), 26 caprins (3,5%) et 25 bovins (3,5%)
Au 12 février 2012, 94 élevages sont confirmés en France
*il s’agit de 93 élevages OVINS (naissance de nouveaux-nés malformés, avortements, mortinatalités résultant de l’infection des mères) et d'un élevage caprin
*situés essentiellement dans le nord de la France (départements de l’Aisne, du Calvados, de l’Oise, de la Moselle, de la Meurthe-et-Moselle, de la Meuse, de la Somme, de la Haute-Marne, du Pas-de-Calais et de la Seine-Maritime).
La transmission (vectorielle par le biais de culicoïdes, moustiques …) entre animaux est jugée faible en cette période hivernale. Les cas observés aujourd’hui résulteraient a priori d’une infection antérieure des mères pendant la gestation.
La situation épidémiologique étant certainement amenée à changer tous les jours, au fur et à mesure de la survenue des périodes de mise bas dans les élevages, ceux qui souhaiteraient connaître l’évolution de cette situation jour par jour peuvent consulter le site de la plate forme d’épidémiosurveillance. Cliquez ici.
Les mesures prises en France
Une surveillance a été mise en place par la Direction générale de l'alimentation (DGAL) début janvier 2012; ses modalités ont été définies sur proposition de la Plateforme de surveillance épidémiologique en santé animale. Il s'agit d'une surveillance clinique des malformations chez les ruminants visant à déceler la circulation du virus Schmallenberg sur le territoire métropolitain (note de service DGAL/SDSPA/N2012-8007 du 4 janvier 2012), avec une surveillance renforcée dans les zones les plus à risque d'introduction du virus, à savoir les régions frontalières avec la Belgique et l'Allemagne.
L'ANSES avait par ailleurs été saisie par la Direction générale de l'alimentation pour évaluer les risques de diffusion sur le territoire français.
La Dgal a aussi demandé au RFSA (Réseau Français de la Santé animale), après la confirmation des premiers cas français, de définir, de prioriser et de coordonner les besoins et les moyens de recherche sur cette maladie.
L’Institut de l’Elevage participe à ce réseau et donc à la définition de ce programme de recherche au côté de l’ANSES, des services du ministère de l’agriculture, des représentants de la recherche pharmaceutique industrielle, de la recherche publique, de la formation en santé animale, de GDS France, de Race de France, des représentants des vétérinaires, des laboratoires vétérinaires etc.
Les axes de recherche prioritaires identifiés sont non seulement la mise au point d’un outil de diagnostique sérologique et d’un vaccin mais aussi une meilleure description de la situation épidémiologique des troupeaux atteints. Cette description nous permettra d’évaluer l’impact de cette maladie dans les troupeaux .
Quid de la réglementation ?
Cette affection n’est actuellement visée par aucune réglementation communautaire ou internationale, toutefois compte tenu de son caractère émergent, les pays touchés ont pris l’initiative d’en informer la Commission Européenne et l’OIE.
Aucune restriction particulière n’est mise en œuvre dans les élevages et aucune mesure spécifique n’est appliquée aux produits. Néanmoins, la DGAl rappelle que la réglementation sanitaire interdit le mouvement des animaux malades et la consommation de leurs produits.
hechlef
Messages: 4
Date d'inscription: 22/02/2012
Aouadi- modérateur général
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Date d'inscription : 02/03/2012
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